Pourquoi ce challenge ?
- D’abord, parce que nous pratiquons un journalisme engagé. Nous avons imaginé Tchak comme une boîte à outils, pour nourrir une prise de conscience et aider les mangeurs et mangeuses à se reconnecter au monde paysan. À ce titre, nous voulons nous adresser à un public plus large.
- Ensuite, par nécessité : ce sont les rentrées générées par les abonnements qui garantissent la stabilité financière et l’indépendance de notre coopérative de presse. Produire une information de qualité demande beaucoup de ressources et de moyens. Budget pour quatre numéros par an : quasi 200.000 euros, à financer aux deux tiers par notre diffusion payante.