Challenge

Ramène ton abonné·e

Tu es abonné·e à Tchak ? Jusqu’au 31 octobre, participe à notre grand #ChallengeRamènetonabonné·e. Tu n’es pas abonné·e? Tu peux aussi participer.

Choisis ta cible

Qui dois-tu convaincre de s’abonner à Tchak ? Ce peut être un de tes amis, une de tes voisines, un de tes oncles, une de tes collègues, un de tes colocataires, une de tes relations… Qu’importe, ce qui compte, c’est de toucher, de ferrer, de décrocher ! Coûte que coûte, avec détermination, mais finesse.

Peaufine tes arguments

Avant de te lancer, peaufine tes arguments. Affirmer que Tchak est géniale ne suffit pas. Pour décrocher un·e vrai·e abonné·e, qui va le rester, tu dois montrer à quel(s) besoin(s) la revue répond. Pour t’aider, nous avons compilé une kyrielle de profils dans les « boîtes à arguments» ci-dessous. Tu les découvriras au fil de l’été.

Passe à l’acte et ramène ton abonné·e

Tu as choisi ta cible et peaufiné tes arguments ? Encore faut-il trouver la bonne tactique pour capter son attention. Une fois prêt, suffit de passer à l’acte et de conclure sur notre boutique en ligne, où elle pourra acheter son abonnement (avec visite de ferme incluse). Tu pourras alors lui offrir la revue gratuite qu’on t’a fait parvenir. Et éventuellement prendre un selfie et nous l’envoyer. Ca te permettra de participer à un tirage au sort à la fin de l’été. P’tits cadeaux à gagner.

Pourquoi ce challenge ?

  • D’abord, parce que nous pratiquons un journalisme engagé. Nous avons imaginé Tchak comme une boîte à outils, pour nourrir une prise de conscience et aider les mangeurs et mangeuses à se reconnecter au monde paysan. À ce titre, nous voulons nous adresser à un public plus large.
  • Ensuite, par nécessité : ce sont les rentrées générées par les abonnements qui garantissent la stabilité financière et l’indépendance de notre coopérative de presse. Produire une information de qualité demande beaucoup de ressources et de moyens. Budget pour quatre numéros par an : quasi 200.000 euros, à financer aux deux tiers par notre diffusion payante. 

Tes boîtes à arguments

Boîte 1 (cliquer sur l’onglet)

« Je n’ai plus le temps de lire »… Une excuse régulièrement entendue pour ne pas s’abonner. On vous donne trois arguments pour vous prouver qu’au contraire, les abonné·e·s de Tchak retrouvent du temps pour lire.

  • J’ai trois mois pour découvrir le sommaire, et y a toujours un article qui me pousse à revenir.   
  • Fini de râler en attendant un train en retard. Avec son p’tit format, c’est quand je veux, où je veux.   
  • Je n’ai pas peur de m’embarquer dedans: un article prend maximum 10 minutes à lire.

Boîte 2 (cliquer sur l’onglet)

« Pourquoi payer pour de l’info que je peux avoir gratuitement ailleurs ? » Une raison parfois avancée pour ne pas s’abonner à Tchak. Allez, hop, trois arguments pour te prouver qu’au contraire, ça paie de participer financièrement

  • De « l’info gratuite » qui a une réelle plus-value, c’est un oxymore. C’est comme si t’allais chez le maraîcher et que tu lui demandais de « bonnes tomates locales pour pas un balle ». Ça n’existe pas !
  • Chez Tchak, ton pognon ne sert pas à acheter des dépêches copiées-collées ou des infos écrites par Chat GPT ; il finance des journalistes qui prennent le temps de creuser, de diversifier, de singulariser. 
  • N’oublie pas : chaque fois qu’on te propose une info gratuite, c’est que c’est toi le produit. En échange, tu vas devoir filer toutes tes données persos et tu vas devoir accepter d’être pisté et ciblé. 

Boîte 3 (cliquer sur l’onglet)

« Tchak, c’est une revue pour spécialistes »… Une excuse régulièrement avancée pour ne pas s’abonner à la revue. Allez, hop, trois arguments pour te prouver qu’au contraire, elle s’adresse au plus grand nombre:

  • Qu’il s’agisse de Danone, Unilever ou d’entreprises moins connues comme le Belgian Pork Group, Tchak démonte le greenwashing des entreprises qui accaparent l’essentiel des rayons des supermarchés.
  • Dans Tchak, on t’explique les différences entre une tomate locale de Carrefour et une tomate du vrai circuit court.
  • En lisant Tchak, tu vas savoir pourquoi HelloFresh et Little Green Box, ce n’est pas du tout la même boîte.

Boîte 4 (cliquer sur l’onglet)

« Tchak, c’est pour les bobos écolos »… Une excuse régulièrement avancée pour ne pas s’abonner à Tchak. Allez, hop, trois arguments pour éviter la gêne si on t’aperçoit en train de lire la revue :

  • Avec Tchak, tu comprends qui paye vraiment l’addition quand tu achètes des soi-disant « courgettes locales » à 1€/kg.
  • Avec Tchak, tu découvres la différence entre le label bio et le slogan commercial « sans résidus de pesticide».
  • Avec Tchak, tu vas savoir quand l’argument « 100% durable » est égal à « 100 % foutaises ».

Boîte 5 (cliquer sur l’onglet)

« Je ne lis plus que sur mon smartphone ou ma tablette »… Une excuse régulièrement entendue pour ne pas s’abonner à Tchak. Voici trois arguments pour prouver à ta cible qu’elle a pourtant tout à gagner à profiter de notre revue papier :

  • Avec Tchak, l’intérêt de feuilleter la revue est inversement proportionnel au temps perdu à scroller. Plus tu tournes les pages, plus tu retrouves un cap à suivre.
  • Avec Tchak, fini l’angoisse de la batterie vide. Tu peux ouvrir la revue quand tu veux, où tu veux, aussi longtemps que tu veux sans jamais tomber à court de jus. Elle est pas belle, la vie ?
  • Avec Tchak, fini le risque de te bousiller le sommeil, les yeux et le cerveau. Aucune lumière bleue ou onde électromagnétique ne s’en dégage. Même ta quiquine ou tes grelots te diront merci ! 

Boîte 6 (cliquer sur l’onglet)

« Tchak, c’est trop cher »… Une raison parfois entendue pour ne pas s’abonner à Tchak. Voici trois arguments pour prouver à ta cible que c’est avant tout une question de point de vue.

  • Un abonnement à Tchak coûte 60€ par an, soit seulement 5€ par mois pour quatre revues, et un total de 450 pages et plus de quarante articles par an. Des bonnes infos à ce prix-là, ça vaut de l’or.
  • Tu peux mutualiser l’achat d’un abonnement avec ta famille, ton ou ta coloc, tes voisins, tes collègues. Chez Tchak, on n’a rien contre le fait de partager, que du contraire ! Ah oui: tu peux aussi suggérer qu’on t’offre un abo-cadeau pour ton anniv’, ta fête ou ta mise à la pension.
  • Quoi qu’il arrive, tu consacres 15% de ton budget mensuel à l’alimentation, soit plusieurs milliers d’euros par an. A ce prix-là, autant choisir à qui tu files ton argent et les filières qui ont le meilleur rapport qualité-prix. Et ça, grâce à Tchak, c’est possible.

Congé !

Cette semaine, on est en congé !

Boîte 7 (cliquer sur l’onglet)

« J’en ai ras le bol des infos anxiogènes »… Une excuse régulièrement avancée pour ne pas s’intéresser à l’info ou s’abonner à Tchak. Allez, hop, trois arguments pour te prouver qu’au contraire, en lisant notre revue, tu vas (re)voir l’avenir en couleur :

  • Nos portraits, nos grands reportages, nos bons tuyaux parlent de paysan·e·s, d’artisan·e·s et d’un tas de gens inspirants. De quoi te rendre compte que le monde qui vient peut aussi être convivial, joyeux et solidaire.
  • Si Tchak dresse des constats assez durs, il balise aussi pas mal de nouveaux chemins et montre comment agir, en commençant par ce que tu pourrais mettre dans ton assiette. Tu vas voir, passer à l’acte, ça va te faire un bien fou.
  • En laissant Tchak sur la table du salon, tu montreras à tes enfants ou tes petits-enfants que s’informer, être à l’écoute, réfléchir, c’est ça aussi qui permet d’imaginer d’autres mondes et d’autres ponts entre les générations.

Boîte 8 (cliquer sur l’onglet)

Tchak, ça parle tout le temps de la même chose… Une excuse régulièrement avancée pour ne pas s’abonner à la revue. Allez, hop, trois arguments pour te prouver qu’au contraire, en lisant notre revue, tu vas élargir ton horizon :

  • C’est vrai, Tchak est une revue qui tourne autour de l’alimentation. Mais ce paradigme agroalimentaire qui a fondé notre ligne éditoriale touche à la société dans son ensemble. Il concerne aussi bien tes papilles gustatives que ta santé, l’économie, l’environnement ou la justice sociale. Bref, un univers plutôt qu’un microcosme.
  • Les articles, dossiers, enquêtes de Tchak te présentent beaucoup de points de vue et questionnent choix de société et politiques. Une diversité de perspectives qui va aiguiser ton sens critique et ton libre arbitre. Et ça, ça te sera utile partout dans la vie.
  •  Tchak, c’est une revue sans frontière : tu vas en savoir davantage sur des sujets aussi variés que l’approvisionnement des restos en Wallonie, les conditions de travail des saisonniers agricoles en Belgique, le boum des boîtes-repas en Europe, les dessous du cacao en Afrique, le droit à l’eau dans le monde, etc. Promis, chaque numéro est un voyage en soi !

Boîte 9 (cliquer sur l’onglet)

« Tchak, ce n’est pas un média objectif »… Une raison parfois avancée pour ne pas s’abonner. Allez, hop, trois arguments pour te prouver qu’au contraire, en lisant notre revue, tu vas pouvoir te forger des opinions en toute liberté et avec des arguments étayés.

  • C’est vrai, Tchak est une revue engagée. On défend un système alimentaire plus écologique et plus solidaire, en rupture avec celui qui domine actuellement la chaîne alimentaire. Dans notre monde globalisé, le rapport entre ces deux modèles reste complètement déséquilibré, y compris sur le plan médiatique, raison pour laquelle notre coopérative de presse est née. Cette ligne éditoriale, on l’explique de façon transparente sur notre site et dans notre charte. De quoi t’offrir un cadre clair et nuancé.
  • Nous ne sommes pas là pour te refourguer du prêt-à-penser. Notre revue questionne les modèles qui émergent et ceux qui restent à construire avec esprit critique, sans militantisme. Nous donnons la parole à tout le monde, même si nous veillons à recontextualiser le positionnement et les propos de nos interlocuteurs et interlocutrices. En ce sens, Tchak n’est pas clivante. Elle est un rendez-vous entre toi et tous ceux et toutes celles qui veulent être moteur du changement, ou en comprendre les enjeux.
  • Chez Tchak, on n’écarte pas les faits qui ne nous arrangeraient pas. Notre comité de rédaction adhère au code de déontologie journalistique, qui impose notamment d’informer dans le respect de la vérité et de manière indépendante, en recourant à des méthodes loyales, en respectant les droits des sources et des personnes et en proposant une politique de correction. Et ça, ça te garantit un contenu fiable, qualitatif et libre. https://www.lecdj.be/fr/

Boîte 10 (cliquer sur l’onglet)

« Tchak, ce n’est qu’une revue parmi d’autres »… Une raison parfois avancée pour ne pas s’abonner. Allez, hop, trois arguments pour te prouver que tu vas aussi pouvoir t’en servir comme d’un outil pédagogique dans ta vie professionnelle :

  • Tu es prof ? Grâce à nos dossiers fouillés, tu pourras décrypter avec tes élèves le greenwashing des multinationales de l’industrie agroalimentaire et les dérives et les coûts réels de la malbouffe. Ou encore les faire réfléchir à de nombreux enjeux, au départ d’infos ancrées dans un terrain agricole local : qu’est-ce qu’un prix juste tout au long de la chaine alimentaire ; pourquoi continue-t-on d’utiliser des pesticides ; que veut réellement dire l’expression « relocaliser l’alimentation » ; etc.
  • Tu es engagé.e dans une association d’éducation permanente ? Lis nos enquêtes sur le sexisme en milieu agricole, les conditions de travail des saisonniers et le rôle des bioingénieurs dans notre société  ! Ou encore nos dossiers sur l’accès à une nourriture de qualité pour tous et toutes et les questions de justice sociale que cette problématique pose. Ces articles pourront t’aider à construire des animations solides en identifiant les points sur lesquels les débats sociétaux doivent avancer.
  • Tu travailles dans le secteur alimentaire ? Saisis-toi de nos portraits, de nos « News des Régions » et de nos nombreux décryptages sur les filières : difficultés traversées par le secteur bio, modèle des boulangeries paysannes, nouvelles philosophies et logiques de distribution (coopératives, ceintures alimentaires, magasins de quartier ou à la ferme…), etc. Cela t’aidera à faire connaître tes réalités aux acteurs et actrices qui t’entourent et aux consommateur.ice.s.

Boîte 11 (cliquer sur l’onglet)

« Quand je lis la presse, je me sens accablé »… Une raison parfois avancée pour ne pas s’abonner à notre revue. Allez, hop, trois arguments pour te montrer qu’avec Tchak tu seras porté·e par une énergie collective.

  • En tant qu’abonné·e à Tchak, tu as la possibilité plusieurs fois par an de visiter des fermes, des coopératives et de rencontrer les paysan·ne·s et les artisan·e·s dont on te parle dans la revue. Tu vas également pouvoir participer à des tables de lecture et échanger tes idées avec la rédaction. Par ailleurs, tu peux aussi intégrer notre communauté en devenant coopérateur ou coopératrice (et profiter au passage d’un abonnement à prix réduit).
  • Grâce à Tchak, tu vas te connecter à un réseau de 70 partenaires (ONG, fédérations agricoles, centres de recherche, coopératives de circuit court, etc.) qui agissent déjà pour que le monde change. Tous ces partenaires forment notre comité d’animation et constituent le volet plus militant de la revue. Si tu t’abonnes, tu vas être invité·e à des soirées-débats et d’autres événements rassembleurs. Parce que s’indigner, lutter et construire ensemble, c’est beaucoup plus motivant qu’agir chacun·e dans son coin.
  • En aidant Tchak à prendre son envol, tu fais partie du grand mouvement de l’économie sociale et solidaire, celui qui vise l’autonomie des citoyen·nes, promeut la participation de toutes et tous, réinjecte les bénéfices dans le développement de l’entreprise et n’a pas d’actionnaires à rémunérer. Bref, un modèle au service de la société et basé sur un processus de décision démocratique.

Boîte 12 (cliquer sur l’onglet)

« J’en ai marre de l’agribashing dans les médias »… Une raison parfois avancée pour ne pas s’abonner à notre revue. Allez, hop, trois arguments pour te montrer que chez Tchak, on est loin du procès d’intention.

  • Être agriculteur.ice, c’est un métier multifacette dont les contraintes et les opportunités sont difficiles à appréhender pour les personnes éloignées du milieu. Les journalistes de Tchak ont à cœur de se rendre sur le terrain et de multiplier les témoignages pour rendre compte de leur réalité. Dans notre revue, on dresse des portraits, on décrypte, on enquête sur le secteur agricole, mais on se refuse à publier des analyses hors sol.
  • L’agriculture est souvent pointée du doigt dans les médias. Chez Tchak, on est conscient.es qu’il n’y a pas une, mais des agricultures. Et qu’il est important de les raconter tout en nuance. C’est pourquoi on prend le temps de comprendre et de poser les enjeux agricoles et alimentaires dans leur complexité, en évitant la glorification et le dénigrement du milieu. Une analyse indispensable pour ne pas tomber dans la caricature.
  • Tchak n’oppose pas les gens sur le terrain. Passer d’un modèle à l’autre demande aux agriculteurs et aux agricultrices une prise de risque considérable, aux mangeurs et mangeuses une grosse remise en question et au monde politique d’abandonner ses vieux logiciels. En ce sens, notre revue est engagée, mais pas clivante. Elle est plutôt un lien entre tous et toutes.

Boîte 13 (cliquer sur l’onglet)

« Pas besoin d’acheter Tchak, je suis déjà convaincu. e par le circuit court »… Une raison parfois avancée pour ne pas s’abonner à notre revue. Allez, hop, trois arguments pour te montrer que Tchak s’adresse tant à celles et ceux qui ignorent tout de leur alimentation qu’à celles et ceux qui sont déjà engagés pour une alimentation plus durable :

  • Tenter de manger mieux chacun chez soi ne suffira pas, même si c’est un bon point de départ. Grâce à nos infos, tu vas nourrir ton engagement en l’enrichissant d’une approche systémique. Mieux comprendre ce que chacun peut faire, mais aussi quels sont les défis à résoudre collectivement, ça va t’aider à garder la flamme face à la lenteur des changements !
  • Les projets d’alimentation durable sont foisonnants et le secteur en évolution continue. Comment savoir quelles sont les fausses bonnes solutions, quels sont les projets qui se font passer pour ce qu’ils ne sont pas et quelles sont les nouvelles initiatives à soutenir si personne n’investigue ? Nos journalistes sont payés pour le faire !
  • Supporter la pluralité de la presse, c’est important sur le plan démocratique et sociétal. Dans un environnement économique où la concentration des grands médias prévaut, et où le pouvoir des GAFAM se renforce, cette pluralité permet de multiplier les visages, les témoignages, les débats dans les médias. Une diversité miroir qui y renforce la représentation citoyenne, et qui ne peut qu’aider à restaurer la confiance entre ceux-ci et la presse.

Boîte 14 (cliquer sur l’onglet)

« Chez Tchak, c’est tous des gauchos extrémistes »… Une raison parfois avancée pour ne pas s’abonner à notre revue. Allez, hop, trois arguments pour te montrer que si tu votes à droite, tu as aussi intérêt à lire Tchak:

  • Tchak fait la part belle aux initiatives entrepreneuriales. On montre leurs succès, mais aussi les failles systémiques avec lesquelles ces activités doivent composer. Parce que développer une entreprise durable dans un système capitaliste et inégalitaire, c’est ramer à contre-courant.
  • Tchak dénonce les doubles discours et les incohérences, quelle que soit leur orientation politique. Non, on ne peut pas défendre à la fois la souveraineté alimentaire et l’exportation de notre lait en Afrique. Non, on ne peut pas prétendre défendre tous les modèles agricoles quand on empêche les plus vertueux de se faire valoir. Non, être une coopérative du circuit court ne suffit pas à garantir le bien-être au travail.
  • Chez Tchak, on pense aussi qu’il faudrait raviver le tissu économique local. On rêve surtout d’une relocalisation progressiste de notre alimentation, basée sur l’autonomie des peuples et la solidarité envers les paysans et les artisans, envers les personnes plus démunies et entre les régions.

Boîte 15 (cliquer sur l’onglet)

X

  • X

Et hop, j’envoie un selfie de moi et de l’abonné·e que je ramène !

Exemple de texte accompagnant ta photo:

Bonjour… Moi, c’est Benoit Dupont (à gauche sur la photo). J’ai réussi à convaincre Jean Dupont, un de mes collègues, de s’abonner. Pour y arriver, je lui ai expliqué que Tchak, c’était plus utile qu’un smartphone. Merci pour votre super revue !

➡️ info@tchak.be