Tchak : les questions les plus fréquentes (FAQ)

Tchak – La revue paysanne et citoyenne qui tranche est un média d’enquête et de décryptage piloté par une coopérative de presse appartenant à plus de 500 coopérateurs et coopératrices citoyennes.

Pour en savoir + sur notre coopérative, voici notre FAQ. Elle regroupe les questions les plus fréquentes – et nos réponses – sur notre projet journalistique, notre déontologie, notre politique de correction, notre comité de rédaction, notre conseil d’administration, nos partenaires, etc.

Tchak! – La revue paysanne et citoyenne qui tranche est disponible via:

  • Abonnement (60€ pour quatre numéros par an | 52€ pour les coopérateur·rice·s)
  • Abonnements groupés ou cadeau
  • Achat au numéro (17 €) dans le Réseau des librairies indépendantes, dans nos points de vente partenaires ou en ligne.  

➡️ Infos et liste des points de vente sur notre boutique en ligne.

Siège social
  • Tchak – La revue paysanne et citoyenne qui tranche, 107, rue Célestin Hastir, 5150 Floreffe.
Adresses mail

Rédaction

  • Pour entrer en contact avec la rédaction ou pour toute question et/ou réaction relative au contenu | redaction@tchak.be

Commercial – Administration

  • Pour toute question relative aux abonnements, aux parts de coopérateur·rice·s, aux ventes au numéro et à la publicité ou un autre point commercial ou administratif :
    Annick Dudouet | info@tchak.be

Animation

  • Pour toute question relative à l’organisation d’un événement :
    Caroline Loret-Vanderlinden | info@tchak.be

Coopérative

  • Pour toute question légale relative à la gestion de la coopérative :
    Astrid Ayral et Thérèse-Marie Bouchat, coprésidentes |
    info@tchak.be
Compte bancaire et numéro de BCE/TVA
  • Numéro de compte bancaire (Triodos) : BE72 5230 8107 6416
  • Numéro BCE : 0725.969.081

Tchak – La revue paysanne et citoyenne qui tranche s’adresse aux mangeur·euses qui veulent se reconnecter avec le monde paysan. Tous les trois mois, 112 pages sur les dessous de notre alimentation. Le premier numéro a été publié au printemps 2020. 

  • Revue paysanne, parce que Tchak part et parle du terrain paysans, des agriculteur·ices et de toutes celles et ceux qui sont à leur contact : artisan·es, petits distributeurs, coopératives en circuit court, magasins à la ferme… Des gens qui recréent des prix justes, des filières, de la solidarité et de l’inclusivité, de la démocratie alimentaire. Au Nord et au Sud.
  • Revue citoyenne, parce que Tchak s’inscrit dans un modèle plus horizontal : celui de l’économie sociale et de l’entrepreneuriat participatif. Un modèle qui vise à rencontrer les besoins de la société, pas la recherche de profits. Et qui crée de l’autonomie et de la liberté.
  • Revue qui tranche, parce que Tchak met en avant les impacts et le greenwashing des multinationales de l’agroalimentaire et de la grande distribution, et invite les gens à couper le cordon qui les lie à ce système alimentaire. Mais aussi parce qu’elle tranche avec le climat anxiogène actuel. Nos articles parlent de celles et ceux qui construisent un monde plus robuste et davantage porteur d’espoir.

En d’autres mots

  • Tchak est un média ouvert. Il s’adresse à un très large public, à qui il propose un contenu informatif qui se veut accessible (y compris sur le plan financier) mais de qualité. Son lectorat est souvent engagé sur le terrain (militance, volontariat, bénévolat, initiatives citoyennes, etc.), et ce dans de nombreux secteurs.  
  • Tchak est un média généraliste. Si son prisme premier est celui de l’alimentation, Tchak explore toutes les facettes d’une transition solidaire, durable sur le plan écologique, innovante sur les plans politique, socio-économique, culturel, ou encore soucieuse de la santé publique. 
  • Tchak est un média acteur. Il participe au pluralisme des opinions et à la promotion des valeurs démocratiques en questionnant le rôle des producteurs, des citoyens, des structures et du politique dans l’avènement de nouveaux systèmes alimentaires plus inclusifs, créateurs d’emplois et de richesse partagée, porteurs d’une redéfinition de la notion de territoire.
  • Tchak est un média engagé. Dans ses éditos, billets d’humeur ou commentaires, Tchak défend l’agriculture paysanne, l’agroécologie, l’autonomie et la démocratie alimentaire, et une alimentation de qualité pour tous et toutes. 

Dans chaque numéro de Tchak, vous pouvez lire :

  • Des enquêtes au long cours sur les pratiques de l’agro-industrie et de la grande distribution, sur les conditions de travail dans les fermes ou encore la mise en oeuvre de politiques agricoles et alimentaires.
  • Des décryptages sur des questions socio-économiques, environnementales, culturelles et de santé publique liées à l’alimentation.
  • Des focus pour mettre en lumière les petites filières de production, et comment elles se développent face aux pratiques des industriels.
  • Des journées en immersion avec des producteurs questionnant les modèles.
  • Des zooms sur les nouveaux producteurs, artisans-transformateurs, magasins coopératifs ou à la ferme, circuits courts et autres projets de votre région.
  • Des cartes blanches signées par des experts, des personnalités ou des gens de terrain.

Tchak aborde également :

  • Les pratiques des prédateurs qui font grimper le prix des terres.
  • Les techniques de greenwashing des multinationales.
  • La face cachée des prix de l’alimentation.
  • Les projets exportateurs wallons destructeurs pour les agricultures du sud.
  • Les incohérences des politiques face aux lobbies de l’agro-industrie et de la grande distribution.
  • etc.
Quelques exemples (voir aussi nos sections)

Tchak parie sur un contenu fiable, qualitatif et libre, raison pour laquelle son comité de rédaction, sa rédaction et son comité d’orientation :

  • Respectent une charte éditoriale. Cette charte est un document fondateur. Elle ancre le projet dans une éthique pleinement journalistique vis-à-vis des lecteurs et lectrices, des acteurs et actrices du secteur, des expert·e·s et du monde politique.
  • Adhèrent au code de déontologie journalistique, qui impose notamment les obligations de diffuser des informations vérifiées ; de recueillir et diffuser les informations de manière indépendante ; d’agir loyalement ; de respecter les droits des personnes. 

Depuis 2021, Tchak est également agréé comme média partenaire de publication par le Fonds pour le journalisme, qui soutient financièrement l’enquête, l’investigation et le grand reportage en Fédération Wallonie-Bruxelles.

Par ailleurs, en mars 2022, l’Association pour l’autorégulation de la déontologie journalistique (AADJ), structure juridique qui supporte le Conseil de déontologie journalistique, a accueilli Tchak comme nouveau membre, au terme d’une procédure de reconnaissance.

Fin juin 2022, Tchak a également été reconnu comme éligible aux aides à la presse, au terme d’une procédure d’examen et de reconnaissance.

Autre indicateur de notre crédibilité : depuis mai 2022, Tchak fait partie de Kiosque,  collectif de médias belges, francophones et librescréé autour de valeurs et de réalités communes avec Alter Echo, Axelle Magazine, Imagine, Le Ligueur, Médor et Wilfried.

Enfin, Tchak dispose, comme tout média, d’une politique de correction (voir la question « Quelle est la politique de correction de Tchak ? »)

Selon certains, Tchak est clivant, en ce sens qu’il oppose les agriculteur·ice·s conventionnel·le·s à ceux et celles qui pratiquent l’agroécologie.

Ce n’est pas exact. Nous n’opposons pas les producteurs et les productrices entre eux. Les fermes sont variées et, sur le terrain, il n’existe pas de ligne de rupture nette entre deux courants que tout opposerait. 

Ce qui nous intéresse chez Tchak, c’est de décrypter les systèmes alimentaires et leurs impacts sur notre société, notre environnement, notre économie et la santé publique.

En regardant l’ensemble de la chaîne alimentaire par ce prisme – l’agriculture, mais aussi la transformation et la distribution – force est de reconnaître que deux modèles se dessinent.

Un système alimentaire dominé par les multinationales de l'agroalimentaire, de la grande distribution et les spéculateurs.

Dans ce modèle basé sur la recherche du profit, les dégâts causés par la concentration et l’industrialisation de la production, et par des prix continuellement tirés vers le bas, sont criants. 

Côté producteurs, on assiste année après année à une diminution du nombre de fermes, une perte de la diversité des cultures et des élevages, une segmentation du métier. Sans parler de revenus agricoles qui flirtent avec le seuil de pauvreté.

Côté consommateurs, on subit mois après mois les scandales alimentaires ; on mesure l’impact de la malbouffe sur la santé : développement de l’obésité, du diabète, des cancers et des maladies cardio-vasculaires.

Ce modèle dominant fragilise également la souveraineté alimentaire des pays du Sud (et leurs agriculteur·rice·s) pour qui nos exportations représentent une mise en concurrence déloyale.

Sans compter, encore, ses impacts sur l’environnement, les ressources naturelles et le climat.

Un système alimentaire privilégiant une alimentation de qualité, axée sur l’agriculture paysanne, l’agro-écologie et des nouveaux modes de distribution et de consommation. 

Ce modèle vise une relocalisation progressiste, parce que basée sur la solidarité:  

  • Solidarité envers les paysans et les artisans transformateurs – pour qu’ils puissent vivre décemment de leur métier
  • Solidarité envers les personnes plus démunies – qui elles aussi doivent pouvoir bénéficier d’une alimentation de qualité
  • Solidarité envers d’autres régions – qui ne bénéficient pas d’une diversité de production garantissant leur autonomie. 

Une solidarité qui permet, aussi, de construire de nouveaux types de gouvernance alimentaire, plus inclusifs parce qu’ils associent des paysans, des commerçants, des mangeurs, des travailleurs, des citoyens autour de la table. 

Une solidarité à l’origine, enfin, de filières, de réseaux et d’un maillage qui, à leur tour, peuvent s’interconnecter à d’autres territoires, d’autres filières, d’autres réseaux. 

Dans notre monde globalisé, le rapport entre ces deux modèles reste complètement déséquilibré, même si de nombreuses initiatives fleurissent.

Passer de l’un à l’autre demande aux agriculteurs et agricultrices une prise de risque considérable, aux mangeurs et mangeuses une énorme remise en question et au monde politique d’abandonner ses vieux logiciels et d’être à l’écoute des communautés moteur du changement.

De notre côté, en tant que média, nous voulons mettre en lumière les systèmes qui freinent ou accélèrent cette transition.

En ce sens, Tchak – La revue paysanne et citoyenne qui tranche est, certes, une revue engagée, mais elle n’est pas clivante. Elle est un lien entre toutes et tous.  

Tchak – La revue paysanne et citoyenne qui tranche  est pilotée par la coopérative Tchak.

Sur le plan juridique, il s’agit d’une société coopérative à responsabilité limitée et à finalité sociale – SCRLFS (voir les statuts au Moniteur).

Cette coopérative a été fondée le 5 mai 2019 par plusieurs partenaires garants issus d’organisations paysannes, de coopératives alimentaires en circuit court, de fédérations d’éleveurs et d’agriculteurs, d’ONG de coopération au développement, de centre de recherches et d’agences conseil en économie sociale:

  • Collectif 5C, FUGEA, MAP-EPI, Paysans-Artisans, Réseau Solidairement, Vervîcoop, CoopEsem, Point Ferme, SAW-B, Propage-S, Fian Belgium, SOS Faim et le GREC.

Depuis, 16 autres autres partenaires ont rejoint la coopérative.Vous pouvez découvrir ici la liste de ces partenaires et leur objet social.

Enfin, et c’est essentiel, quelque 500 citoyen·ne·s ont investi dans la coopérative après, notamment, deux appels public à l’épargne.

Capital : trois types de parts
  • A. Les parts sociales « garants », d’une valeur nominale de cinq cents euros (500 €), réservées aux fondateurs et associés garants
  • B. Les parts sociales « partenaires », d’une valeur nominale de cinq cents euros (500 €), souscrites en cours d’existence par des personnes morales partenaires
  • C. Les parts sociales « citoyennes », d’une valeur nominale de cinquante euros (50 €), qui sont souscrites en cours d’existence par des personnes physiques

Le pouvoir démocratique est exercé en assemblée générale par l’ensemble des coopérateurs et des coopératrices, à parts égales, quel que soit leur investissement financier dans la structure et quel que soit leur statut de membre fondateur·ice, de partenaires ou de simples citoyen·nes. C’est le principe  une personne = une voix.

Différentes instances gèrent et animent la coopérative et ses objets sociaux :

  • Le conseil d’administration : il pilote la coopérative sur les plans légaux, financiers et des ressources humaines.
  • Le comité de rédaction et la rédaction : il et elle pilotent la revue sur le plan du contenu.
  • Le comité d’animation : il est chargé de faire vivre la revue au-delà des différentes publications (organisation de soirées-débat, conférences, visites sur le terrain, ou encore représentation dans des événements extérieurs, etc).
  • Le comité d’orientation : il est évalue les différents numéros, il relaye les campagne de notoriété, communication, il agit en support du comité d’animation. Il propose également des idées de thématique d’enquêtes au comité de rédaction.
Le Comité d’orientation de Tchak

Pour 2024, Tchak a besoin de 201.000 euros pour éditer ses quatre numéros.

Principal poste au budget, le personnel. Produire une information de qualité nécessite beaucoup de ressources et de moyens. Notre équipe de journalistes est donc passée de 2 à 2,5 équivalents temps plein depuis septembre 2021. Il faut y ajouter une dizaine de journalistes et de photographes free-lance, etc.

Pour atteindre ces 201.000 euros, la coopérative compte sur plusieurs recettes :

  • La diffusion payante, soit les rentrées générées par les lecteurs et les lectrices (abonnements et ventes au numéro)
  • Les aides à la presse et le mécénat
  • La publicité (plafonnée à 6 pages par numéro)  

Le conseil d’administration de Tchak est composé de représentants des associations parties prenantes du projet, de représentants des coopérateurs – lecteurs et de scientifiques. Il se réunit une fois par trimestre.

Ses missions 
  • déterminer le budget et veille à ce que les comptes de la coopérative soient à l’équilibre ; 
  • veiller à favoriser l’égalité homme-femme et la diversité au sein du CA, des différents comités de la coopérative et de la rédaction ; 
  • Gérer de manière raisonnée les ressources et/ou réduire autant que faire se peut l’empreinte écologique du projet.
  • désigne les membres du Comité de rédaction du projet éditorial, à qui il confie les responsabilités rédactionnelles.
  • arbitre les litiges et conflits éventuels au sein du Comité de rédaction si ces derniers ne se résolvent pas au sein de celui-ci.
  • exécuter ses missions en lien avec les statuts de la coopérative et avec son assemblée générale.
Ses membres 
  • Thérèse-Marie Bouchat – Coprésidente
    (Coopérative Paysans-Artisans)
  • Astrid Ayral – Coprésidente
    (Fédération Unie de Groupements d’Éleveurs et d’Agriculteurs – FUGEA)
  • Benoit Dave – Administrateur
    (Collectif des coopératives citoyennes de circuit court – Collectif 5C)
  • Kevin Maréchal – Administrateur
    (chercheur au GREC – Gembloux Agro-Bio Tech)
  • Catherine Tellier – Administratrice
    (Mouvement d’action paysanne – ou MAP)
  • Pascal Van Bever – Administrateur | Trésorier
    (Réseau Solidairement)
  • Magali Guyaut – Invitée permanent
    (Collectif des coopératives citoyennes de circuit court – Collectif 5C)
  • Yves Raisiere – Invité permanent
    (Journaliste | rédac-chef Tchak)

contact: info@tchak.be

Le comité de rédaction de Tchak se réunit une fois par mois. Il est pluriel, démarche peu habituelle dans une rédaction. Il est composé de journalistes, de représentants des partenaires du projet, d’experts des médias et du secteur agro-économique. Ou encore de scientifiques (ULiège/ Gembloux Agrobiotech – UCLouvain).

📌 Tous les membres de ce comité de rédaction adhèrent au code de déontologie journalistique.

Ses missions
  • veiller au respect de la ligne éditoriale et de ses valeurs ; apporter son expertise et garantir la qualité des contenus ; valider les sommaires (choix des enquêtes, dossiers, etc.) ;  accompagner la rédaction dans son travail, ses questions et ses préoccupations ;
  • garantir l’indépendance éditoriale de la rédaction ; soutenir les journalistes face à d’éventuelles pressions ; prévenir toute forme d’ingérence (commerciale, publicitaire, philosophique, syndicale, politique, etc.) ; 
  • défendre le code de déontologie journalistique ; veiller au respect de la charte et des balises éditoriales (article 7) et de la politique de correction (article 8) ; 
  • inviter des expert·es en fonction de l’actualité et des thématiques des dossiers.  
  • arbitre les litiges et conflits éventuels au sein de la rédaction si ces derniers ne se résolvent pas au sein de celle-ci.
Ses membres

La rédaction

  • Clémence Dumont
    Journaliste / membre de l’association des journalistes professionnels (AJP). 
  • Sang-Sang Wu
    Journaliste / membre de l’association des journalistes professionnels (AJP). 
  • Yves Raisiere
    Journaliste professionnel et rédac-chef / membre de l’association des journalistes professionnels (AJP). 
  • Philippe Lavandy
    Photographe

Les représentants des partenaires

  • Astrid Ayral
    (Fédération Unie de Groupements d’Éleveurs et d’Agriculteurs – FUGEA)
  • Thérèse-Marie Bouchat
    (Coopérative Paysans-Artisans)
  • Benoit Dave
    (Collectif des coopératives citoyennes de circuit court – ou Collectif 5C)
  • Manu Eggen
    (chargé de recherche et plaidoyer chez FIAN Belgique)
  • Zoé Gallez / Paul-Henri Guilmin (en alternance)
    (Terre-en-Vue)
  • Romain Gelin
    (chercheur au Groupe de recherche pour une stratégie économique alternative – GRESEA)
  • Kevin Maréchal
    (chercheur au GREC – Gembloux Agro-Bio Tech)
  • David Olivier
    (chargé de mission au Collectif 5C)
  • Catherine Tellier
    (Mouvement d’action paysanne – ou MAP)
  • Patrick Veillard
    (chargé de recherche chez Oxfam Magasins du Monde)

Les représentants de la société civile

  • Thierry Dupièreux
    (directeur des médias de la Ligue des Familles – journaliste – rédacteur en chef du Ligueur – membre de l’association des journalistes professionnels – AJP).

Le projet éditorial est encadré par un comité d’orientation. Il se réunit deux fois par an. Il est composé par les membres du Comité de rédaction, par les administrateurs de la coopérative, par les représentants des partenaires et des coopérateur·ice·s. Tous et toutes se sont engagés à respecter la charte éditoriale et le code de déontologie journalistique.    

Ses missions
  • Évaluer collectivement les numéros réalisés, sur base des objectifs du projet éditorial ;
  • imaginer/relayer des campagnes de notoriété/communication et autres ; 
  • participer à l’organisation d’un grand événement Tchak par an ;
  • entretenir le lien entre tous les partenaires de la coopérative.
Ses membres

Le comité d’animation de Tchak incarne la dimension militante du projet. Il se réunit une fois par trimestre.

Ses missions
  • Sensibiliser à des problématiques traitées au sein de chaque numéro ;  
  • Mise en valeur de solutions et de réponses aux problématiques soulevées ;  
  • Renforcer le regard et la réflexion critique par rapport à l’info. 

Quelques exemples

En avril 2022, Tchak et ses partenaires ont reçu, durant trois jours, pour un tour de Wallonie (et Bruxelles) et trois soirées conférences, Cédric Herrou, paysan sans frontières originaire de la Roya, auteur du livre Change ton monde, et Marion Gachet, cofondatrice la communauté paysanne Emmaüs Roya. Sur leur ferme, tout près de la frontière italienne, tous deux ont déjà accueilli des milliers d’exilés.

En avril et mai 2022, Tchak et ses partenaires ont organisés trois soirées débats à l’ULB, à l’UCL et à Gembloux Agro-Bio Tech sur l’avenir du métier de bioingénieur·e, au départ de son enquête consacrée à cette question. Des centaines de jeunes ont participé à ces soirées.

En avril 2024, Tchak et ses partenaires ont organisé deux grosses soirées (Bruxelles et Gembloux) sur la sécurité sociale de l’alimentation et la privatisation des terres agricoles publiques, suite à notre numéro spécial élections de mars 2024.  

Cédric Herrou et Marion Gachet, en soirée conférence, à l’UNamur.
Ses membres

Le Comité d’animation de Tchak est composé de divers représentants des partenaires de Tchak.

➡️ Vous souhaitez inviter Tchak à un événement ? Vous pouvez nous contacter à l’adresse suivante: info@tchak.be .

Plusieurs types de signatures se côtoient dans Tchak. A ce titre, le Comité de rédaction et le journaliste | rédacteur en chef veillent à baliser clairement les publications des uns et des autres, afin de permettre aux lecteurs d’identifier correctement les auteurs / contributeurs des articles sur le plan de leur statut, de leurs références, de leurs rôle dans le projet éditorial.

De gauche à droite et de haut en bas: Clémence Dumont, journaliste; Clémentine Pinet, responsable des animations; Annick Dudouet, responsable de la gestion administrative; Sang-Sang Wu, journaliste; et Yves Raisiere, journaliste et rédac chef. © Philippe Lavandy
Journalistes salariés
Journalistes free-lance ayant déjà collaboré avec Tchak 
Correspondants ayant déjà collaboré avec Tchak 
Photographes (journalistes) ayant déjà collaboré avec Tchak 
Création de la maquette, graphisme et mise en page
Contributeurs (experts partenaires de Tchak)
Dessinateurs ayant déjà collaboré avec Tchak 

Tchak est un média d’information qui s’inscrit dans la déontologie journalistique. Celle-ci impose notamment de :

  • diffuser des informations vérifiées ;
  • recueillir et diffuser les informations de manière indépendante ;
  • agir loyalement ;
  • respecter les droits des personnes.

Cet engagement de Tchak à respecter le Code de déontologie journalistique implique notamment, dans son article 22, que lorsque des journalistes diffusent des accusations graves susceptibles de porter atteinte à la réputation ou à l’honneur d’une personne, ils donnent à celle-ci l’occasion de faire valoir son point de vue avant diffusion de ces accusations. L’impossibilité d’obtenir une réponse n’empêche pas la diffusion de l’information mais le public doit être averti de cette impossibilité.

Par ailleurs, toute personne estimant qu’une correction doit être apportée dans la présentation d’un ou de faits publiés peut prendre contact avec le journaliste ayant signé l’article ou le rédacteur en chef. L’un et l’autre évalueront la demande de correction ou autre à sa juste mesure, dans le respect de la vérité et du droit des personnes.

Toute personne physique qui a été citée nominativement ou désignée implicitement (elle peut se reconnaître ou être reconnue par son entourage) peut également, pour ce seul motif, exercer un droit de réponse (loi du 23 juin 1961).

Enfin, toute personne, physique ou morale (institution, association, entreprise…) qui estime qu’une pratique journalistique donnée est contraire aux règles déontologiques peut introduire une plainte au Conseil de déontologie journalistique.

➡️ Pour contacter la rédaction: redaction@tchak.be
– Ou voir la question « Qui fait partie de la rédaction »

1. Parce que vous consacrez 15% de votre budget mensuel à l’alimentation et que, par ce biais, vous pouvez être acteur d’une transition alimentaire solidaire et respectueuse de l’environnement. Encore faut-il pouvoir en capter les multiples et complexes facettes. En ce sens, Tchak est une boîte à outils qui aide à la prise de conscience.​​

2. Parce qu’appréhender ces multiples et complexes facettes en un seul numéro est impossible. Pour découvrir les acteurs, les filières, les systèmes, il faut se donner du temps. Celui de lire, de découvrir, de réfléchir, de débattre. S’abonner est le meilleur moyen pour appréhender les modèles et en cerner les impacts sur notre société, notre environnement, notre économie, notre santé.

3. Parce qu’investir dans notre / votre coopérative de presse, c’est participer au développement et à la viabilité d’un média basé sur l’économie sociale. A la clé, la pérennité des ressources indispensables à la conduite du projet et à sa qualité journalistique. Et ça, ce n’est pas rien dans un secteur qui reste plus que jamais à la recherche d’un modèle financier.​​

4. Parce que supporter la pluralité de la presse, c’est important sur le plan démocratique et sociétal. Cette pluralité permet de multiplier les visages, les témoignages, les débats dans les médias. Une diversité-miroir qui renforce la représentation citoyenne et qui ne peut qu’aider à restaurer la confiance entre ceux-ci et le journalisme.

Convaincus ? Vous avez plusieurs solutions pour passer à l'acte et rejoindre notre communauté. La principale: vous abonner
  • Vous abonner (60 euros pour quatre numéros par an – ou 52 € si vous prenez une part de 50 euros dans la coopératives)
  • Souscrire un abonnement groupé pour votre association, votre institution, votre entreprise (150 euros pour 3 abonnements)
  • Offrir un abonnement cadeau à vos proches (60 euros pour quatre numéros par an)
  • Acheter un ou des numéros (17 euros)
  • Investir dans la coopérative (part à 50€). Tchak a cloturé son deuxième appel public à l’épargne mais vous pouvez toujours devenir coopérateur·rice.

➡️ Infos sur notre boutique en ligne.

Alter Echos, Axelle Magazine, Imagine, Le Ligueur, Médor, Tchak et Wilfried ont créé  Kiosque, collectif de médias belges, francophones et libresautour de valeurs et de réalités communes.

Ensemble, nous représentons une vingtaine de journalistes salariés, une soixantaine de journalistes free-lance et nous cumulons des dizaines de milliers de lecteurs via nos publications, nos sites web et nos réseaux sociaux. Nous générons également une activité économique locale et durable.

Nous pratiquons un journalisme ancré dans la déontologie. Au quotidien, nos titres de presse réalisent, avec humilité, mais exigence et conviction, un travail d’intérêt général qui nourrit le débat public.

Ses objectifs
  • Peser auprès du monde politique pour dégager des scénarios économiques visant à préserver la liberté et la diversité de la presse
  • Enrichir le débat démocratique et, par ce biais, renforcer et restaurer la confiance qui lie citoyens, citoyennes et journalisme

➡️ Info: www.kiosque.media

Tchak privilégie les partenaires ayant une éthique, des valeurs et ouverts sur le monde.

  • Vous êtes une administration et vous avez une information à communiquer aux citoyennes et aux citoyens. 
  • Vous êtes une ASBL d’éducation permanente et vous avez un message à diffuser auprès du grand public.  
  • Vous êtes une ONG active dans la défense de l’environnement, des droits sociaux ou autre, et vous voulez diffuser une nouvelle campagne.
  • Vous êtes une entreprise de l’économie sociale et vous souhaitez communiquer sur vos services.

Notre audience

  • Revue (3.000 lecteur·rice·s) ; réseaux sociaux (11.000 abonné·es); newsletter (1.300 abonné·es).

Nos produits et packs

Tchak propose plusieurs produits : annonces, publireportages et concours.

Profil des lecteur·rice·s
  • Le lectorat de Tchak est composé de coopérateur·ice·s, d’abonné·e·s et de lecteur·rice·s au numéro.
  • Il est instruit, assez critique et souvent engagé sur le terrain (militance, volontariat, bénévolat).
  • Il s’intéresse aux systèmes alimentaires et à leurs impacts environnementaux, socio-économiques et sur la santé publique.
  • Il est sensible aux questions relatives à la transition, aux inégalités sociales et aux valeurs démocratiques.
  • Selon l’image renvoyée par nos réseaux sociaux, il est un peu plus féminin que masculin, principalement actif (25-54 ans) et travaille en région bruxelloise ou dans les grandes agglomérations wallonnes.

Infos pratiques

📌 Pour tout savoir concernant le cahier des charges à respecter, c’est ici.

📌 Pour tout renseignement, contactez Annick Dudouet | info@tchak.be

Ils nous ont déjà fait confiance

Alter Echos І APAQ-W І BEP І Collectif 5C І Compagnie Adoc І Condromat І Ethiquable І Festival Alimenterre І Ferme des Arondes І Festival A travers champs І Festival Nourrir Bruxelles І Fian Belgium І Concertes І Manger Demain І MAP І Médor І Paysans-Artisans І Solidaris І SOS-Faim І W.ALTER | etc

Exemple d’annonce publiée par le FOREM

Oui. Dans chacun de ses numéros, Tchak fait appel à des journalistes professionnels extérieurs à sa rédaction travaillant sous statut de free-lance. 

Dans le cadre de leur collaboration avec Tchak, ces journalistes professionnels free-lance s’engagent à respecter la charte éditoriale de la revue et le code de déontologie journalistique.

Ils veillent notamment à ne pas prêter pas leur concours à des activités publicitaires ou de communication contraire à cette charte et ce code.

Tarif des piges/ prestations
  • Le tarif est celui recommandé par l’AJP est de 2,36 euros par ligne de 60 signes (espaces compris) pour un tirage inférieur à 50.000 exemplaires, soit 0,039 euro par signe, pour les articles de fonds, les interviews et les reportages.
  • Dans sa charte éditoriale, le Comité de rédaction s’engage à défendre ce tarif, ici arrondi à la décimale supérieure, soit 0,04 euros par signe (espace compris).
  • Des prestations peuvent également être facturées pour recherches (100€/jour avec un maximum de 5 jours), en accord préalable avec le rédac-chef.
  • Les réunions de rédaction portant sur les missions confiées aux journalistes free-lance et organisées à l’initiative de Tchak peuvent enfin être facturées (20€ / réunion).
  • Enfin, les frais de déplacement peuvent également être facturés.