Cela fait un an, déjà, que Tchak! – La revue paysanne et citoyenne qui tranche a vu le jour . Un projet journalistique à part entière, dont l’indépendance et les valeurs sont consacrées dans une charte éditoriale.
Un an déjà. Plus de 9.000 revues vendues, plus de 500 pages consacrées à l’industrie agroalimentaire, la grande distribution, l’agriculture paysanne, les nouveaux modes de production, de distribution, de consommation.
De l’enquête, du décryptage, du reportage. Un objectif : mettre en lumière les acteurs, les enjeux et les modèles, spécialement ceux qui portent des valeurs et qui marquent par leur résilience. Une volonté aussi : participer à la prise de conscience.
Tchak!, c’est aussi plus de 31.000 euros apportés par quelque 250 coopérateur·ice·s. Et 17.000 euros par ses 26 membres fondateurs et partenaires.
C’est enfin des comptes à l’équilibre grâce à plus de 800 abonné·e·s, des centaines de lecteur·ice·s et quelques annonceurs. C’était important, premier pari réussi, merci !
Comment aider Tchak! à construire le rez-de-chaussée
Les fondations étant terminées, on peut maintenant construire le rez-de-chaussée. Pour ça, on a besoin d’encore plus de soutien. Plusieurs solutions :
- Vous (ré)abonner (56 euros pour quatre numéros par an).
- Offrir un abonnement cadeau.
- Convaincre vos proches, vos amis, votre réseau de s’abonner.
- Acheter les 4 premiers numéros, toujours d’actualité.
- Souscrire un abonnement groupé pour votre association, institution, votre entreprise (140 euros pour 3 abonnements).
- Devenir coopérateur·ice (50 euros la part) et intégrer notre communauté (premier rendez-vous début mai).
- Acheter une page de pub (écrire à Clémentine info@tchak.be).
Pas encore tout à fait convaincu ? Ci-dessous, quatre témoignages enthousiastes de lecteur·ice·s. De quoi vous inciter à passer à l’acte.
Joseph Pirson, Malonne
Je voudrais mettre en évidence l’originalité de Tchak! ainsi que l’intérêt d’avoir regroupé autour de la création et de la relance différentes associations et coopératives.
- La revue allie l’intérêt pour des initiatives précises et l’investigation sur des dossiers globaux y compris sur le plan international.
- Le travail est mené de manière rigoureuse avec un souci de documenter et d’argumenter chaque hypothèse et chaque proposition.
- L’écriture est agréable, les dossiers sont très lisibles, sans simplisme et la mise en page facilite la lecture.
- Les documents photographiques sont de grande qualité !
- L’équipe regroupe différents âges et manifeste une belle maturité dans la qualité de communication et d’enquête.
Philippine Libois, Tinlot
Merci à vous pour vos bons articles qui permettent d’ouvrir les yeux sur des situations et un monde que les lecteurs lambda comme moi connaissent très mal ! Je vous souhaite de pouvoir poursuivre ce travail en toute sérénité.
Nicolas Bauwens, Forest
Je viens de me réabonner. Quel plaisir à chaque fois de découvrir le nouveau Tchak! dans la boîte aux lettres. Tous les dossiers sont très intéressants. J’ai beaucoup apprécié la dernière enquête sur le cri d’alarme des producteurs bio. Les décryptages plus courts sur les multinationales de l’alimentation sont également excellents.
Certains articles sont très spécifiques et moins grand public, c’est vrai. Mais de manière générale, l’équilibre est bon. J’apprécie surtout le fait qu’on ne termine pas la lecture du Tchak! complètement déprimé. Les problèmes sont exposés mais en même temps, plein d’initiatives positives sont mises en avant. Je trouve ça génial que vous puissiez souligner des « petits » projets locaux qui sont inspirants et avec de l’impact.
Merci pour ce journalisme de terrain, éclairé et positif, ça fait énormément de bien ! J’ai une activité complémentaire dans la formation à l’alimentation durable. Du coup, c’est une matière très précieuse qui me permettra d’enrichir les contenus de formation.
Pierre Fontaine, Liège
Votre revue m’intéresse en tant que citoyen, et tout autant pour l’exercice d’une part de ma profession de conseiller en urbanisme, logement et développement territorial. La thématique de l’agriculture (celle dans le sol) devient progressivement, à Liège ville et arrondissement, aussi une thématique urbaine.